- Quelle stratégie d’investissement en 2023 ?
- Dans quoi investir en 2023 pour contrer l’inflation ?
- Quels placements privilégier en 2023 ?
- Quels investissements adopter en 2023 ?
Vous êtes nombreux à nous poser des questions sur vos finances en ce début d’année 2023 !
L’année 2022 a été particulière : mauvaises nouvelles géopolitiques, yoyo sur les marchés financiers, inflation sur le coût des biens de consommation ou encore sur les prix de l’énergie…
Le NASDAQ a perdu 33% sur l’année 2022. Quant au CAC 40, il a perdu près de 10%.
Afin de prendre les meilleures décisions pour cette nouvelle année, nous avons organisé un webinaire :
“Quelle stratégie d’investissement en 2023 ? 🧐”, avec Primonial REIM, J.P. Morgan AM et Carmignac.
Leurs avis et leurs expertises sont précieux pour se positionner en ce début d’année par rapport à ce qui peut arriver dans les semaines et les mois à venir en 2023.
Au sommaire de ce webinaire :
- Bilan macro-économique 2022,
- Visions et convictions de nos experts partenaires sur l’évolution des marchés financiers et immobiliers,
- Perspectives d’investissement 2023.
Avant de se projeter sur 2023, quelques mots sur 2022 au niveau de notre cabinet Grisbee Gestion Privée.
Bilan 2022 de Grisbee
Malgré cette année compliquée, notre cabinet en gestion de patrimoine a connu une très belle année, une belle croissance avec une collecte annuelle supérieure à 45 millions d’euros 😁
Nous accompagnons toujours des familles mais également de plus en plus de personnes morales ! Des placements de leur trésorerie à la mise en place de plan d’épargne entreprise.
De manière générale, nous proposons à nos clients des allocations de plus en plus diversifiées notamment grâce à des nouvelles classes d’actifs telles que le Private Equity et la thématique obligataire.
Notre activité s’est également renforcée autour de la réduction d’impôts à travers l’investissement dans la forêt, dans le Girardin Industriel évidemment dans les plans d’épargne retraite (PER), etc.
Toute l’équipe Grisbee vous remercie pour votre confiance et votre fidélité 🤩
Que retenir en 2022 sur les marchés financiers et immobiliers ?
Avant de se projeter et apporter des prédictions sur l’année 2023, il est essentiel de faire un bilan macro-économique 2022 🧐.
Marchés financiers : quel bilan en 2022 ?
“On se souviendra de 2022 comme l’année du choc de l’inflation” selon Axelle Pinon, membre du comité d’investissement de Carmignac. Retour en arrière pour comprendre ce qu’il s’est passé 👀
L’inflation a été extrêmement faible pendant plus d’une décennie. Par exemple, aux États-Unis, l’inflation sur les 10 dernières années était en moyenne sous les 2%. En 2022, elle était de près de 9% 😳 ! Plusieurs raisons peuvent se cacher derrière ce phénomène.
Une partie des pressions inflationnistes ont démarré dès 2021 et sont liées à la réouverture des économies post-covid. Cette réouverture a conduit à un rebond très fort de la demande sans que l’offre puisse suivre réellement. Ces pressions temporaires ont été alimentées par une hausse des salaires (aux États-Unis) mais aussi par un choc sur les matières premières (gaz, pétrole, alimentaire) avec la guerre en Ukraine.
Ainsi, il y a eu un vrai effet boule de neige sur l’inflation, qui a pris les banques centrales de tous les pays du monde par surprise ! Cela les a donc conduits, de manière très “violente”, à resserrer leur politique monétaire en augmentant leur taux d’intérêt directeur. L’année 2022 a enregistrée 280 hausses de taux à travers le monde ! Cela a donc impacté “de manière catastrophique” le marché des actions et des obligations. En effet, les marchés actions ont connu des performances très négatives :
- Les États-Unis : -20%
- L’Europe : -12%
- La Chine : plus de -20%
- Les marchés obligataires ont été aussi en forte baisse.
💡 Aujourd’hui, il y a une forte corrélation entre les actions et les obligations. Ces dernières années, ces deux grandes classes d’actifs étaient assez décorrélées : quand les actions performaient, les obligations performaient moins et inversement.
Ce constat est également partagé par Louis-Charles Nérot, de la société JP Morgan Asset Management, qui nous rappelle qu’il est important d’avoir une vision à long terme ! En effet, “si nous observons la performance cumulée sur cinq ans des actions américaines c’est +70% malgré une année 2022 très compliquée”.
Ainsi, avant d’investir, il faut comprendre que les marchés financiers peuvent être haussiers ou baissiers.
Marché immobilier et SCPI : quel bilan en 2022 ?
Antoine Depigny, Directeur du Développement chez Primonial REIM, nous a éclairé sur le placement préféré des français : l’immobilier 🏠.
L’année 2022 pour l’immobilier a été différente de celle des marchés financiers. L’immobilier est un investissement un peu plus long terme et “moins élastique” dans ses réactions face aux chocs de marché. Ainsi, elle a été une année assez traditionnelle en termes de rendement, de stabilisation des prix ou des valorisations. En effet, la performance de la plupart des SCPI en 2022 a été assez similaire à celle de 2021. Nous n’avons pas connu “un choc extrêmement important” selon le Directeur du Développement de Primonial REIM. Toutefois, cela ne préjuge pas de l’année 2023 !
En 2022, l’immobilier retail (immobilier commercial) a connu un engouement plus fort que les années précédentes avec une collecte importante sur les SCPI et les SCI dédiées.
Cette année compliquée sur les marchés financiers et l’inflation ont joué en faveur du marché immobilier. En effet, on sait que l’immobilier est une classe d’actifs sur laquelle le revenu va être indexé sur l’inflation.
Le marché institutionnel a en revanche été vraiment “atone“. La plupart des institutionnels anticipent des mouvements de marché qui sont peut-être moins favorables sur l’immobilier. Ainsi dès le milieu de l’année 2022, ils ont stoppé tout investissement et le volume d’immobilier transacté au niveau européen a été extrêmement faible en 2022.
Aujourd’hui, le marché est un petit peu attentiste. Tout le monde attend une évolution des prix de l’immobilier qui viendra certainement au cours de l’année 2023. Cela ainsi aura des conséquences et donneront un certain nombre d’opportunités cette année 😎.
Quels scénarios envisager sur les marchés financiers pour 2023 ?
2023 sous le signe de la prudence
Le travail des banques centrales (américaine et européenne) n’est pas terminé selon Axelle Pinon de Carmignac. Toutefois, elles peuvent déjà commencer à voir les effets de leur travail en ce début d’année 2023. En effet, la trajectoire d’inflation commence effectivement à être en baisse aux États-Unis (-9%) et en Europe (-6,5%).
La récession peut être évitée de justesse mais il n’est pas impossible que les banques centrales continuent à monter leur taux jusqu’à la récession. Peut-on prédire alors s’il y aura ou non une récession ?
Selon Louis-Charles Nérot de JP Morgan AM, cela est “difficile à prévoir“. Toutefois ce qui est sûr c’est que “la croissance sera très faible des deux côtés de l’Atlantique” (États-Unis et Europe). Il ne faut pas s’attendre à “la crise financière de 2008” mais à court terme il faut rester plutôt prudent.
Il faut bien prendre conscience que les États-Unis et l’Europe ne sont pas tout à fait dans la même configuration malgré une inflation très forte. Aux États-Unis, l’inflation est plutôt auto-entretenue avec une forte pénurie d’emploi. Il y a 3,5% de chômage alors que le seuil du plein emploi est autour de 4%. En conséquence, il y a beaucoup plus de postes ouverts que de personnes qui cherchent du travail. Cela créé une pression, à la hausse très importante, sur les salaires et donc une pression à la hausse sur la consommation et sur les prix. Il s’agit de la fameuse boucle “prix salaire” dont on entend parfois parler.
En Europe, l’inflation est de nature assez différente. Elle est plutôt importée avec une forte proportion de matières premières.
Selon Axelle Pinon de Carmignac, il y a aussi des facteurs structurels démographiques liées aux investissements du changement climatique qui vont continuer à nourrir l’inflation sur les prochaines années.
2023 toujours sous le signe de la diversification
Les experts de JP Morgan AM et Carmignac sont unanimes : il faut éviter de prendre trop de risques sur les marchés financiers à court ou moyen terme.
Le conseil à retenir pour cette année 2023 (et pour le futur) c’est surtout de diversifier ses investissements et ses allocations ! Sélectivité, diversification sectorielle, géographique et gestion extrêmement active sont les maitres mots pour cette nouvelle année.
Le marché obligataire en poupe pour 2023
Carmignac Investissement a une très forte conviction sur le marché obligataire pour 2023. Pour rappel, le marché obligataire est celui de la dette émise par les États et les entreprises. En France, en 2019 le taux à 10 ans de l’État français était à -0,40%. Cela signifie que l’on payait l’État français pour lui prêter de l’argent : cela était devenu un peu ubuesque ! Toutefois, le pas obligataire que l’on a eu en 2022 a concerné la dette publique et la dette privée. Cela a permis de redonner de l’attractivité à l’ensemble de la classe d’actifs. En effet le taux à 10 ans de l’État français à 10 an est passé d’un taux négatif à un taux de 2,7 % ! Donc, les marchés obligataires peuvent redevenir une opportunité attractive pour les investisseurs avec un risque qui reste quand même plus limité que sur les actions.
Quels scénarios envisager en 2023 pour le marché immobilier ?
Prudence partagée également par Primonial REIM sur le marché immobilier en 2023.
2023 est l’année des grands changements de paradigmes pour l’immobilier ! Cela fait à peu près une dizaine d’années que les fondamentaux de l’immobilier étaient vraiment drivés par une politique de taux bas.
Pour Antoine Depigny, la valorisation des biens de Primonial s’appréciait de façon assez régulière au fur et à mesure que les taux de rendement attendu se compressaient. Même si tout le monde était préparé à cette augmentation des taux, cela est arrivé de façon assez assez brutale 😳 !
Heureusement pour l’immobilier finalement que cela se soit fait de façon corrélative avec la hausse de l’inflation.
De façon imparfaite, Primonial REIM à travers ses SCPI, est en mesure aujourd’hui de retranscrire cette inflation en augmentant les loyers. C’est surtout le cas dans l’immobilier de bureau, dans l’immobilier tertiaire comme la santé ou l’hôtellerie. Toutefois, c’est un petit peu moins le cas sur l’immobilier résidentiel ou du milieu de commerce.
Il est évident que la hausse des rendements attendus va avoir un impact négatif sur la valorisation des actifs immobiliers.
Il ne faudra plus “traiter” l’immobilier comme un même classe d’actif, il va falloir regarder un petit peu précisément comme en chacune de ces sous-catégories (résidentiel, bureau, commerces…) va fonctionner.
Antoine Depigny de Primonial REIM est convaincu “qu’un certain nombre de classes d’actifs notamment celles qui sont le moins corrélés au reste de l’économie comme peuvent l’être le résidentiel ou l’immobilier de santé et même d’une certaine façon le bureau très qualitatif continueront à tirer leur épingle du jeu“.
Encore une fois l’immobilier est un investissement long terme avec des perspectives de croissance en termes de rendement qui restent complètement en ligne avec les perspectives de l’ordre 4 / 5 ou 6%.
Les convictions et stratégies d’investissement de nos partenaires en 2023
Les stratégies d’investissement en 2023 de Carmignac : les pays émergents et l’Europe
La première conviction de Carmignac est le marché des pays émergents notamment la Chine 🇨🇳 . Toutefois cela nécessite une grande sélectivité 🧐 Ils se concentrent uniquement sur des entreprises domestiques et exposées à ce que l’on appelle la nouvelle économie : l’innovation dans la technologie, la santé, la transition écologique ou encore la consommation. Ils vont éviter toutes les entreprises tenues par l’État Chinois.
Ils vont être également extrêmement sélectifs en termes de taille de position, de construction de portefeuille pour gérer un peu cette “volatilité folle” des marchés chinois. Au-delà de la Chine, l’univers émergents regroupe de nombreuses opportunités attractives ! Par exemple, le Brésil bénéficie d’un cycle de matières premières qui est extrêmement positif. Le Mexique bénéficie également du phénomène de la rapatriation de la production la plus proche des États-Unis. En effet, les États-Unis veulent arrêter de produire en Chine et préfèrent le faire plus proche de leur territoire afin de sécuriser les lignes de production.
La Corée offre aussi des opportunités intéressantes ! C’est un marché qui a perdu 25% l’année dernière parce que la Corée est une économie très cyclique, donc très sensible à tous les mouvements qu’on peut avoir. Toutefois, c’est un pays qui regroupe des entreprises de qualité et très innovantes. Toutes ces opportunités sont regroupées dans leur fonds Carmignac Emergents.
La seconde conviction de Carmignac est l’Europe 🇪🇺 Selon ces experts, la sur-performance de l’Europe devrait se poursuivre en 2023 ! En effet, les entreprises européennes génèrent à peu près 8% de leur chiffre d’affaires en Chine contre seulement 4% pour les États-Unis.
Enfin l’Europe a des valorisations qui sont attractives notamment vis-à-vis des États-Unis. Ainsi, dans un contexte où les taux d’intérêt vont rester à un niveau élevé, les experts de Carmignac pensent qu’avoir des variations attractives est vraiment un plus !
Carmignac favorise également le secteur du luxe dans leurs portefeuilles car c’est un bénéficiaire direct de la réouverture de la Chine. Le luxe est aussi un secteur qui reste quand même à l’abri des craintes de récession et de ralentissement.
Les stratégies d’investissement en 2023 de JP. Morgan AM : la Chine, technologies américaines et la santé
La Chine est aussi une conviction forte chez JP Morgan Asset Management (AM) notamment sur le marché domestique (marché H). Au sens large, l’Asie représente 60% de la population mondiale dont 40% en réunissant la Chine et l’Inde ! Bien sûr, il ne faut pas investir en fonction de la taille des populations mais il faut prendre conscience que le monde se tourne vers l’est. Ainsi, selon les experts de JP Morgan AM, il est important que cela apparaisse dans les portefeuilles des épargnants.
La part de la Chine dans le PIB mondial est passée de 2% au début des années 90, à 15% aujourd’hui. Il est fort probable que la Chine devienne prochainement (“2030 / 2035 ?”) la première économie mondiale. La Chine a “déçu” ces deux dernières années, principalement en raison du COVID-19 et de ses confinements massifs, qui ont effectivement fortement pénalisés la croissance. Aujourd’hui, ce marché est devenu historiquement peu cher. Le grand concept de la Chine est la “prospérité commune” c’est-à-dire qu’il y a eu beaucoup de milliardaires en Chine et maintenant le gouvernement chinois veut que cette richesse profite au plus grand nombre. La Chine selon les critères de l’OCDE à quasiment réussi à faire disparaître la pauvreté. Ainsi, il va y avoir une émergence de la classe moyenne qui est considérable : à peu près 350 à 400 millions de Chinois !
La deuxième conviction de JP Morgan AM est les technologies américaines. Selon leurs experts, il s’agit du secteur qui a le plus contre-performé en 2022 (30% de perte). La hausse des taux évoquée précédemment a fortement pénalisée les actions croissance (ou action value). Il faut bien prendre conscience que c’est un “méga secteur” puisque les technologies représentent 25% du marché actions aux États-Unis. Leurs valorisations sont désormais raisonnables après des valorisations stratosphériques ces dernières années. On peut s’attendre au printemps 2023 à un arrêt de l’augmentation des taux. Ainsi, la croissance sera moins pénalisée et relancée !
Les gérants de JP Morgan AM essayent d’investir sur “l’ensemble de la courbe de la technologie américaine“. Par exemple, investir sur un marché un peu plus mature comme les smartphones ou les tablettes, ou sur un marché plus récent comme l’intelligence artificielle avec chatGPT.
Leur dernière conviction est le secteur de la santé. En effet, ce secteur innove énormément dans 4 sous segments : la biotech, les pharmas, les technologies médicales et les services de santé. Les leviers qui peuvent porter le secteur de la santé sont le vieillissement des populations (que ce soit en Europe ou en Chine) et des fusions acquisitions. En effet, les industries pharmaceutiques ont souvent “pas mal de cash” et ont la possibilité d’acheter et d’intégrer des Biotech.
Les convictions immobilières de Primonial REIM en 2023 : le résidentiel et la santé
Les convictions immobilières de Primonial REIM pour 2023 sont l’immobilier résidentiel et la santé. En effet, il s’agit des classes d’actifs immobiliers les “plus acycliques” c’est-à-dire de celles qui sont le moins corrélés au reste de l’économie.
Ainsi, l’immobilier résidentiel ou l’immobilier de santé et d’une certaine façon le bureau très qualitatif continueront à tirer leur épingle du jeu.
Lors de notre conférence, des questions telles que “Comment va évoluer l’immobilier de bureau selon Primonial REIM ? Que faut-il privilégier ? Avec quels actifs, faut-il être plus prudent ? ” ont été posées.
Selon Antoine Depigny, Primonial REIM a une “forte conviction sur l’immobilier de bureau de type siège social des grands groupes“. La taille et la centralité sont vraiment le maître mot pour cet investissement 🏡 . Il faut regarder avec beaucoup d’attention la qualité des portefeuilles qu’il y a dans les SCPI.
Primonial REIM a vécu 15 années où finalement une “gestion modérément active suffisait à maintenir la valorisation” des portefeuilles. Aujourd’hui sur l’immobilier de bureau, Selon Antoine Depigny “nous sommes vraiment à la croisée des chemins entre un immobilier de bureau type année 70/80 vieillissant et l’immobilier attractif“.
La première option ne trouvera probablement plus de locataire ni de d’acheteurs d’ici une dizaine d’années et aura des gros problèmes en termes de valorisation de son foncier ne serait-ce qu’au regard des nouvelles normes environnementales. L’immobilier attractif est selon Primonial REIM, l’immobilier de bureau flexible, modulable et qui s’est accéléré avec les confinements liés au Covid-19. Les entreprises ont découvert qu’il fallait attirer les salariés à venir au bureau ! Certaines proposent même des services de conciergeries pour qu’ils soient ravis de venir et de ne pas rester en télétravail. Autrefois, le “bureau était une façon d’attirer les clients, aujourd’hui cela est devenu une façon d’attirer les salariés”. C’est ce type de “bureau” qui va tirer son épingle du jeu dans l’immobilier de bureau selon Primonial REIM.
Très important également, la thématique environnementale 🍃 . L’immobilier c’est 40% de la consommation mondiale d’énergie, c’est 30% des émissions de de carbone ! Il est impératif d’agir sur l’immobilier selon leurs experts. La labellisation ISR des fonds est une partie de la réponse mais c’est une partie seulement. En effet, la labellisation des fonds immobiliers donne une sorte de cadre. Il faut aller beaucoup plus loin et communiquer sur la performance de chacun de ces actifs et sur la performance évidemment des actifs dans le cadre de la trajectoire carbone des accords de Paris. La profession va devoir aller vers cela dans les années qui viennent selon Antoine Depigny.
Au-delà de l’environnement, les critères ESG (environnementaux, sociaux et de bonnes gouvernances) sont devenus incontournables !
Votre stratégie d’investissement en 2023
Prenez dès à présent un rendez-vous avec un conseiller en gestion de patrimoine Grisbee, qui vous aidera à définir la meilleure stratégie d’investissement et fiscale à mettre en place en 2023.
Un autre projet ? N’hésitez pas à contacter notre cabinet en gestion de patrimoine !
Replay “Quelle stratégie d’investissement en 2023 ?”
Retrouvez ci-dessous le replay de notre conférence “quelle stratégie d’investissement en 2023 ?” 👇🏻